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Europa Press
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10 mars 2015
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El Ganso vise un chiffre d'affaires de 75 millions d'euros en 2015

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Europa Press
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10 mars 2015

El Ganso, marque espagnole fondée en 2004, qui a fêté son dixième anniversaire, a clôturé l'exercice 2014 avec un chiffre d'affaires consolidé de 59 millions d´euros et prévoit de dépasser les 75 millions d'euros en 2015 grâce à sa présence internationale, selon les informations communiquées par l'entreprise.
 
Concrètement, l'entreprise de mode créée par Alvaro et Clemente Cebrián compte actuellement un total de 107 points de vente, répartis dans 10 pays, lesquels proposent des vêtements de fabrication 100 % européenne.

Shop in shop au «Corte Inglés»de Campo de las Naciones à Madrid.


Au cours du dernier exercice, El Ganso a parié sur une croissance à l'international. Ainsi, sur un peu plus d'une centaine de boutiques actuellement, 21 se trouvent hors d'Espagne, chiffre qui révèle la « claire vocation internationale » de la société, et le pari chaque année plus présent des Cebrián d'augmenter leur présence tant en Espagne qu'en Europe et en Amérique latine.
 
L'enseigne textile, qui a commencé son expansion internationale en 2011, compte actuellement des points de vente en France, au Portugal, en Belgique, en Angleterre, au Chili, au Mexique, aux Pays-Bas, en Italie et en Allemagne. Elle s'est fixée comme objectif en 2015 de poursuivre sa croissance dans ces pays, et de se focaliser sur les marchés français, britanniques et mexicains.

Au cours des dix dernières années, El Ganso, qui poursuit également sa croissance en Espagne grâce à ses nouvelles ouvertures de corners chez Corte Inglés, reste fermement attachée à sa philosophie du « Fabriqué en Europe », puisqu'elle produit tous ses vêtements, accessoires et chaussures en Europe, tout en maintenant le design et la qualité à un prix compétitif.
 
« Le fait de produire en Europe nous apporte de réels avantages tels que le souci du détail, le contrôle de la qualité sur place, des relations de travail proches et dynamiques, ainsi que l'assurance que le travail se déroule dans les meilleures conditions », indiquait Alvaro Cebrián.