Sarah Ahssen
26 oct. 2018
La Cerise sur le chapeau veut décliner son concept de personnalisation à l’export
Sarah Ahssen
26 oct. 2018
Depuis plus de 13 ans, avec La Cerise sur le chapeau, Cerise Bentz met de la couleur dans l’univers des couvre-chefs. Le concept de sa griffe ? Proposer à ses clients de personnaliser leurs chapeaux en choisissant d’abord leur forme parmi six modèles, de la capeline à la cloche, puis leur matière, feutre ou panama (paille d’équateur), et enfin leur couleur : de celle du chapeau lui-même à celle du gros grain (ruban qui entoure le chapeau) et du passant.
En France, La Cerise sur le chapeau est présente via son e-shop, mais également ses deux ateliers-boutiques parisiens situés 2 bis rue Léon-Cornard et 11 rue Cassette. Dans sa boutique historique de la rue Cassette, inaugurée il y a 11 ans, près de 30 % de la clientèle est japonaise. Un marché phare pour la Cerise sur le chapeau, où sont présents la majorité de ses trente points de vente revendeurs. « Les boutiques japonaises commandent nos chapeaux tout faits. Mais travaillons actuellement à un concept qui permette d’exporter la personnalisation car c’est le cœur de la marque », détaille Cerise Bentz. Une personnalisation qui pourrait rimer avec digitalisation et qui permettra à la griffe, qui écoule chaque année 5 000 chapeaux (à partir de 150 euros), de se renforcer à l’export.
En attendant, pour accompagner ses collections de chapeaux fabriqués dans ses ateliers parisiens et dans des ateliers situés en Seine-et-Marne (77), Cerise Bentz a lancé il y a deux ans La cerise sur tout autre chose, une griffe qui se décline en trench-coat (environ 250 euros), chemises pour hommes (environ 95 euros) ou encore gants.
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