Le salon 1.618 Sustainable Luxury bientôt au Carreau du Temple

Toujours à l’initiative de sa créatrice, Barbara Coignet, 1.618 Sustainable Luxury investit cette année les 3.000 m2 du flambant neuf Carreau du Temple. 4 espaces distincts dont un salon lifestyle regroupant une quarantaine d’entreprises aux univers liés à l’architecture, au design, au tourisme, à la joaillerie ou à la mode et dont les « démarches durables » ont toutes été validées par un comité d’experts indépendants, rejetant tout esprit de greenwashing.

Parmi les entreprises du secteur textile, sont notamment annoncées Twins for Peace, marque de sneakers au concept équitable, travaillant en partenariat avec les associations locales au Brésil, au Mozambique ou en Inde ; Norlha, marque de prêt-à-porter formant les nomades tibétains au traitement et à la transformation de la fibre de yak utilisée dans ses collections ; Solantu, marque argentine d’accessoires fabriqués à partir de peau de crocodile…

Deux prix – un en partenariat avec HEC pour l’entreprise la plus audacieuse en matière de développement durable, l’autre décerné par le public pour « la marque la plus désirable » - seront remis à l’issue du salon.

Parmi les autres espaces à découvrir, l’exposition d’art contemporain sur le thème du Temps réunira une dizaine d’artistes proposés par Lauranne Germond (COAL), commissaire de l’exposition; l’espace Prospective mettra en scène les projets durables d’entreprises sur « Demain, la ville en mieux ». Le quatrième espace, le Cercle, dédié aux tables rondes et débats, interrogera, lui sur le devenir du retail et des points de vente dans le luxe (réservé aux professionnels) ou sur les attentes des consommateurs de luxe dans les pays émergents.

A noter, pour sa 4ème édition, 1.618 Sustainable Luxury reçoit comme invité d’honneur le designer David Trubridge, qui proposera une version de 3 mètres de diamètre de sa lampe Coral, et organise une foule d’événements « Hors les murs » avec food trucks, green parcours dans le Marais et expositions d’artistes urbains.

Alexis Chenu