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16 oct. 2017
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Mes Demoiselles : des ouvertures françaises et l'enfant qui s’affirme

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16 oct. 2017

Mes Demoiselles suit son petit bonhomme de chemin. La griffe féminine parisienne née en 2006 de l’imagination d’Anita Radovanovic et Max David Silberman devrait passer de 9 à 12 boutiques en propre dans les mois qui viennent. Lille, Paris et Ajaccio sont ainsi au programme de la marque de prêt-à-porter haut de gamme aux accents folk.

La marque féminine a lancé une collection fillette il y a un an - Mes Demoiselles

 
C’est dans le Vieux-Lille, au numéro 17 de la rue de la Monnaie, que Mes Demoiselles va ouvrir sa première boutique dans le Nord. Ses portes ouvriront à la fin du mois d’octobre, quelques semaines avant la prochaine inauguration de la marque, à Paris cette fois.
 
La griffe s’apprête en effet à ouvrir sa sixième adresse dans la capitale (sans compter celle de Neuilly-sur-Seine). C’est sur une artère de prestige qu’elle le fera, puisqu’elle s’installera en décembre prochain au numéro 5 de la rue Cambon. Enfin, une troisième adresse est visée avec un projet de première boutique en Corse, probablement à Ajaccio, et toujours en propre.

Vendue avant tout par plusieurs centaines de multimarques dans le monde, la marque féminine a également trouvé un nouveau filon avec le prêt-à-porter enfant. Testée en 2016, aujourd’hui confirmée, la capsule dédiée à la petite fille a grandi et se fait progressivement une place sur le marché. Celle collection comptant désormais plus d’une quinzaine de silhouettes inspirées de celles de la femme a conquis une cinquantaine de revendeurs multimarques, en France, en Italie et au Japon principalement.

Elle se déploie également dans davantage de boutiques Mes Demoiselles, après avoir été testée d’abord dans celle de la rue Etienne Marcel à Paris, dont elle habille même les vitrines aujourd'hui. « C’est un vrai plaisir cette capsule enfant ; voir mes silhouettes en version mini m’émeut particulièrement ! confie Anita Radovanovic. Et c’est vrai que cela plaît plus que ce à quoi nous nous attendions. Il y a un vrai engouement, cela prend une autre tournure désormais », conclut-elle.
 

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