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17 oct. 2017
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Spartoo ouvre son premier magasin francilien à Carré Sénart

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17 oct. 2017

Alors que le premier magasin physique de Spartoo, installé dans son fief de Grenoble, fêtera en mars prochain son troisième anniversaire, l’e-commerçant inaugurera ce 25 octobre 2017 à Carré Sénart (Lieusaint) sa première adresse d’Ile-de-France. Une étape aussi symbolique que stratégique pour la structure grenobloise, qui entend s'établir durablement en région parisienne.


La première boutique francilienne de Spartoo prendra place à Carré Sénart - Carré Sénart


Fort aujourd'hui de douze points de vente (la boutique de Chalon-sur-Saône ayant été fermée en septembre dernier), le réseau va ainsi s’enrichir d’un magasin de 140 mètres carrés dédié aux chaussures homme, femme et enfant. Tablettes et écrans géants viennent compléter l’offre en donnant accès à l’ensemble du catalogue. Le tout dans un centre commercial qui fêtera l’inauguration d’une extension de 30 500 mètres carrés, amenée à renforcer une fréquentation qui atteignait les 14,5 millions de visiteurs en 2015.

« Déployer notre présence physique nous permet d’être encore plus proches de nos clients, de les accompagner au mieux, que ce soit en ligne ou en boutique, expliquait en juin à FashionNetwork.com le PDG Boris Saragaglia. Nous cherchons donc aussi à racheter des réseaux de magasins ou fonds de commerce à la barre du tribunal ».

Ces derniers mois ont été riches en actualités pour Spartoo. Début juin, le tribunal de commerce de Beauvais s’est notamment prononcé en faveur de l’offre émise par le portail pour la reprise du pôle chaussures pour enfant de Kindy, incluant la marque GBB. Une marque destinée à se moderniser en vue de renforcer l’offre propre de Spartoo, désormais constituée d’une dizaine de labels.

En août, le magazine Challenges indiquait que Spartoo était « à vendre ». Contactée par FashionNetwork.com, la société indiquait pour sa part être simplement « ouverte à toutes les possibilités », dans le cadre d’un cycle de réflexion engagé tous les trois ans par la société alpine. « On sait que la concurrence française a eu de gros soucis en fin d’année dernière et sur le début 2017. Et donc nous nous disons que nous sommes bien placés pour avoir de nouveaux partenaires dans cette aventure, sachant que nous avons aussi des actionnaires historiques qui pourraient être amenés à sortir », nous expliquait le PDG.

 

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